<RETOUR

Ici vous retrouverez des photos de la Ligue et de ses membres. Nous les changeons environ une fois par mois (Ok, pas tout le temps *sniff*), fait que, revenez souvent! On pensait commencer avec quelques souvenirs de la Coupe universitaire d'Improvisation 1997 à l'Université du Québec à Montréal.
 
 

Blonde ou autistique?: Mireille Blanchard est une enfant à besoins dans cette comparée du premier match de Moncton à la CUI. Audacieux, les étoiles de l'U de M ont décidé de jouer dramatiquement dans une "catégorie libre" démontrant qu'ils pouvaient jouer sur le même pied que l'équipe adverse de l'Université Laval, connus pour leur jeu théâtral et dramatique. Mireille, Réjean Claveau (le père) et Samuel Chiasson (les hallucinations) ont remporté les honneurs dans cette improvisation à la fois touchante et troublante.
 

Comic Book Man: Là où l'équipe-étoile voyait l'impro très physique d'un soldat appelé à aller tuer (assez sauvagement, merci) des enemis de toutes sortes, le public a vu quelque chose d'entièrement différent. La scène: dernière improvisation de la demi-finale, une comparée. Réjean Claveau commence l'impro en lisant, reçoit un appel, saute dans l'action, quand tout le monde est mort, revient lire sa revue, reçoit un autre appel, celui-ci pour faire des oeufs, les fait, sifflet. Entre les mains des spectateurs, ceci devint un voyage imaginaire dans le monde de la bande dessinée lue par Réjean au début. Le public récompensa Moncton avec une ovation debout. L'U de M n'en revient encore pas des niveaux de lecture possibles sur cette impro particulière.
 

"My girl... my girl...": Un des points forts de la finale U de M/UQAM, cette improvisation comparée sans caucus a commencé dans l'incertitude avec les 6 joueurs dans l'arène. Personne ne savait quoi faire quand le capitaine, Réjean Claveau, commença à faire le beat de la chanson "My Girl". Les autres gars suivirent alors que Samuel Chiasson entonnait une chantée impromptue et bien rimée (sa spécialité) sur cet air. Les deux demoiselles de l'équipe (seule Margot Pelletier n'est pas visible sur la photo) mimaient l'action. D'un rien total est née une improvisation méritorieuse d'une autre ovation. Bravo à nos étoiles de l'an dernier, et que celles de cette année puissent en faire autant!