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Résumé:

Semaine 2

Hayaha haya haya hayaha haya hayé héyahé haya haya héhahé yéha yéhé yéhé yéhé yéhé... woyons, ça saute - SLAM! - ... haya hayaha haya...

Les autobus font un ronron et décollent sur la grand route, empruntant Wheeler, puis l'autoroute, destination... sud? C'est sûr que ça attire l'attention des p'tits jos connaissants comme Johnny (Lavande) et euh... attendez, je cherche quelqu'un de connaissant dans les Ardoises... euh... Ti-Cass, I guess. Les conversations dans le camp Lavande sonnent comme "S'qu'on va?" alors que celle des Ardoises sont plus comme "C'est ça qui arrive quand un gars qui sait pas conduire fait notre itinéraire."

En tout cas, les autobus font le tour du sud-est, passant par Shédiac, Sackville, presqu'Amherst, (dodo pour le chauffeur), pour retourner vers le nord juste à temps pour...

Jour 2

Les autobus rentrent à Moncton de nouveau ce beau matin de printemps (too bad faut le ruiner avec des défis de Survivor) et se dirigent pour le campus de nouveau. Chez les Lavandes, Fireball est mort de rire, Etienne fait semblant d'être frustré et Sam lâche un sniff dérisoire. Dans l'autobus Ardoise, ya tellement de rookies qu'ils n'ont jamais rien vu d'autre alors sont contents pareils.

Karine, qui essayait de voir si son chauffeur était cute, est la première à trouver l'invitation au défi, sous la forme d'un très mauvais poème d'ailleurs. Elle le lis à la gang de la façon que Gérard Etienne lui a enseigné de le faire:

"Pic poc pic poc
L'plancher est dur comme une coque.
Poc pic poc pic
Faite du bruit pour une couvarte qui pique
pas."

"Oh my god, c'est mauvais!" de s'exclamer la Karine, qui apparement s'ennuie déjà d'aller à la messe pour parler de même. ceci prompte Sam à relire le poème dans le véritable accent de Gérard Etienne, ce qui est toujours entertaining.

Chez les Ardoises, c'est Steven qui trouve le message et après qu'il l'est lu, tout le monde veut voir le papier eux mêmes. Qu'ess vous voulez, yont rien entendu. "Faudra faire du bruit?" devine Nathan. Attaboy. Emili vire verte quand elle voit que les autobus s'arrrêtent au CEPS. C'est pas assez qu'elle doit y étudier avec des retardés, il faut que le premier défi y soit?!? C'est drôle, dans l'autre autobus, Fireball a la réaction toute contraire. Il se s'en chez lui.

Mike les reçoit à l'entrée, ayant apparement dormi comme un loire dans son propre lit. "On aurait pu couché icitte tant qu'à rester à Moncton," de dire Martine, des cernes sous les yeux. Mike peut juste rire à ça, et entamer son petit speech de la journée tout en guidant les Survivors au gymnase.

"Vous allez voir qu'à chacun de nos arrêts où la CUI a été disputée, on va utiliser les événements de cette CUI pour inspirer les défis. Le gros problème à la CUI 93 à Moncton, c'est qu'on jouait dans une moitié du gym, et que le CEPS refusait de fermer l'autre moitié. Cette dernière a été occupée toute la fin de semaine avec des joueurs de badminton. Pic poc pic poc" ok, le poème encore? "toute la sacrée de fin de semaine, jusqu'à ce qu'on en vire fou. VOTRE défi est d'atteindre le plus haut niveau de décibels en utilisant que l'équipement sportif et vos souliers (qui peuvent squeeker)."

Mike leur montre alors que l'autre coté d'un rideau, il ya un appareil pour calculer le niveau de bruit dans la salle et leur sort des raquettes et des volants pour jouer au badminton, les filets étant déjà settés. Il leur montre aussi qu'est-ce qu'ils peuvent gagner: des couvertures douillettes qu'ils pourront étendre sur le plancher de leur autobus pour ceux qui y dorment. "Juste assez de vergeage," explique Mike. Sam: "Veux-tu voir du vergeage?" Langue sortie, il sort aussi sa queue pour la première fois dans le voyage. La dernière? Anyway, un point digital apparait dessus pour votre protection... presque.

"Une équipe ira premier pendant que l'autre est séquestrée ailleurs dans l'édifice, et c'est Lavande qui a été sélectionnée ultérieurement. Ardoises, allez vous crècher." Lavande s'avance sur le terrain, et chaque membre prend une raquette. "Vous avez 10 minutes pour faire le plus de bruit possible." Fine. Ils se donnent ça, ayant ben du fun à jouer le jeu, et squeekant leurs sneakers le plus possible. Well, Raymond a un peu moins de fun quand Phil le ramasse derrière la tête avec une raquette en essayant de reacher pour un volant clairement hors-jeu. Il commence à s'excuser à profusion et se rattrape immédiatement (ou après un look de Mike). C'est vrai, ps le droit de parler!

On coupe à l'autre équipe qui décide de planifier leur assault. Quand Nathan lâche qu'on n'"est pas obligé de jouer au badminton right?", Ti-Cass saute là-dessus, prend le rôle de leadership: "Oui! Bon, C'est ça qu'on va faire. Ok? On arrive là pis on les fesse ensemble, ces raquettes-là, pis on les crisse à terre! On mène du train!" "Pis les volants eux-autres," demande Jason. "Fuck les volants tabarnaks! Voulez vous le gagner s't'ostie de défi là?"

Mais de l'autre côté, les Lavandes ont déjà pensé à ça, aussitôt que Raymond a échappé sa raquette à terre en fait. Bing bang bow, ils se mettent à frapper leur raquettes ensemble, etc. atteignant un montant de bruit assez potable, merci. à la fn du 10 minutes, Mike leur annonce qu'ils ont réussi à atteindre 81 décibels, mais que 2 décibels doivent être déduits pour la fois que Phil a parlé, donc 79, et les envoie s'asseoir dans les gradins.

Et voilà les Ardoises qui sautent dans le tas immédiatement, car Mike ne les informe pas du total des Lavandes (pour être juste). Surprenant comment Jason et Steven tappent leurs raquettes ensemble et que ça fait aucun bruit. Le tapage fait monter le décibelomètre à proche 80, mais pas exactement (pas avec les white noise twins anyway). Tout à coup, l'aiguille va à 85 grâce à Bébert qui est allé dans la remise (dont la porte était toujours ouverte) et sorti un ballon de basketball.

Mike déclare les Ardoises les gagnants, mais les Lavandes s'y opposent, disant que la basketball était illégale. Mike s'en sacre pas mal de l'objection vu que le ballon est bel et bien de l'équipement sportif et accessible, et en plus, que ça avait arrivé à la CUI qu'un imbécile avait sorti un ballon pour enterrer un match. Même situation ici. Les Ardoises reçoivent les couvertes et quand ils retournent dans leur autobus, le tout a déjà été placé, dans leur couleur en plus.

Les autobus décollent, mais ne vont pas loin, se stationnant dans le parking gratuit du CEPS, quand même loin l'un de l'autre pour pas que les équipes se voient. Pendant la journée, Phil essaie d'entertainer les autres avec des chansons, mais certains sont en arrière en train de jaser, n'ayant pas vite pardonné la pénalité pour avoir parlé. Karine est bien plantée à côté de Phil cependant, mais veux juste entendre des tounes de Janice Joplin. Dans l'autre autobus, ben on dort ben mieux cette nuit-là grâce aux couvertes, à la fois sur et sous les bancs, ainsie que dans l'allée.

Jour 3

La troisième journée commence avec une belle image: Maxence collé sur Bébert comme s'ils étaient des amants. Il a fait froid durant la nuit, et Bébert est une fournaise humaine. Dans l'autre autobus, on est déjà debout. Premièrement, le plancher est moins confortable, et deuxièmement, Martine est de la partie et habituée à se lever à 3h30 du matin pour la job. 5-6h pour elle, c'est de la grasse matinée (bien que se lever chaque matin avec Paul, c'est toujours un matin gras). Les Lavandes sont donc bien assis quand l'autobus décide de partir. Pas toutes les Ardoises cependant, et Maxence se réveille en peur quand Bébert roule sur lui soudainement.

Les bus vont pas ben loin, se dirigeant au centre-ville et tournant au parc du Mascaret. Une fois là, rien. Les portes rouvrent pas, et ya pas eu de poème encore. Les survivors (oui, maintenant en minuscules vu qu'ils méritent pas la majuscule entoute) prennent cette opportunité pour déjeuner. Vu qu'ils n'ont pas réchaud comme l'an dernier, tout le monde doit se contenter de céréales et de raisins secs, des affaires de même. Somehow, Karine a pas encore fini par le temps que Mike cogne à leur porte pour qu'ils sortent de là.

"Pas de poème?" de demander Rémi, conscient du format habituel. Mike lui explique que comme les plus récents Survivors, ya pas de poème pour l'immunité. And there was much rejoicing. "Anyway," entame Mike, sur la grève de la rivière Peticodiac, "nous voici à la première immunité. Vous remarquerez que la rivière est basse tout de suite, mais le mascaret devrait arriver bientôt. Le défi: Vous devez tous vous rendre de l'autre côté, puis revenir. La première équipe complètement de ce côté-ci gagnera l'immunité. Vous avez le droit d'aider vos compatriotes, mais pas de donner des problèmes à vos adversaires."

Mike fait le "Survivors ready, set, go, geste tapette" que Jeff Probst a rendu "populaire" et les deux gang s'enlignent pour la rivière. Au point où elle est, elle est vaseuse en titi. Seul un mince coulis d'eau coule au milieu. Mike, longues-vues en main, annonce que le mascaret est en train de tourner le coude. Les Ardoises ont un peu de misère. Bien qu'Emili a glissé ventre premier sur le banc de sable, lui donnant de la distance, Rémi a les deux jambes prises ben creux au tout début. Quand Jason lui dit "come on, come on", Rémi, qui fait de son mieux, réplique: "Hey, j'ai dis whoah!" Après ça, il se déprend et avance, mais c'est lent. De l'autre côté, Etienne, qui a déjà nagé la Peticodiac dans sa jeunesse, donne ses trucs aux autres. C'est Fireball qui est le premier l'autre côté cependant, ayant lui aussi fait ce genre de folie, mais moins loin dans le passé.

Maxence prend du temps à ce rendre, et est dans un état de panique parce qu'il pense que le mascaret est comme dans les brochures: 2 mètres de haut. Il ne veut pas être pris dans le raz-de-marée. Quand il frappe finalement (et Maxence n'est pas encore l'autre côté), c'est un soulagement de voir qu'il ne fait que 30 centimètres. Par ce temps-là, certains survivors sont déjà en train de retraverser dans l'autre sens. La vase est plus molle, ce qui rend les choses légèrement plus difficile, mais le vrai problème, ce sont les mouettes qui suivent le renflouement des eaux et qui sont dans les jambes. Phil arrête une seconde pour sortir le nom scientifique des oiseaux (du genus Larus anyway) et se relance de plus vive allure.

À la fin, c'est à la nage que les retardataires doivent faire la croisée alors que leurs collègues les encouragent. Ces retardataires? Bébert (qui n'arrêtait pas de tomber), Maxence et Rémi (Ardoises) et Martine et Phil (Lavandes). Aussi ben pas avoir mentionné Maxence dans ce groupe, car il se rend aisément à la nage. Le sur-le-dos de Bébert est-il assez vite cependant? Rémi est-il trop loin en arrière? Les réponses sont non et oui, exactement dans cet ordre, alors que Martine fait la nageuse olympique et que Phil se fait remonter sur la grève par les grands bras de Raymond (c'était sans rancune apparement). Lavande remporte!

Mike fait garrocher des seaux d'eau sur tout le monde pour leur enlever le gros de la vase (les chauffeurs anonymes sont très heureux de le faire, déjà écoeurés de leurs charges) et annonce: "Tout le monde dans vos autobus. Par le temps qu'on se stationne à un rest-stop à Rogersville, les Ardoises devront voter quelqu'un pour l'expulsion." Épuisés et gelés, les deux équipes rentrent dans leur foyer temporaire pour salir les bancs comme il faut...

Entrevues sur la plage

Tribal Council

Quand l'autobus hâvre à Rogersville, à un rest-stop en vue de la grande église, les Ardoises sont demandé de descendre et d'aller se laver. Quand les Lavandes essaient de sortir pour la même chose, Mike les en empèche. "Sorry, il faut perdre l'immunité," dit-il en pointant l'idôle sur la banquette avant, une reproduction de la tête de Boum Boum Morneault en papier maché. "Est-ce qu'on peut au moins aller à la salle de bain?" supplie Karine. Mais Mike leur laisse savoir qu'ils ont déjà une "salle de bain" et que c'est pas son problème si elle a été contaminée par Raymond et les autres.

Quand les Ardoises sont propres (façon de parler), ils se joignent à notre animateur (encore une fois, façon de parler), s'assoyant sur des tables à picnic couleur Parc Canada. Un ptit tour d'entrevues?

"Ti-Cass," y a-t-il déjà, à ce point dans le jeu, déjà des alliances?" demande-t-il au Survivor avec la peau la plus douce (sorry Emili). "Pourquoi tu d'mandes ça à moé?" est la réponse moins que coopérative. "Une question d'épiderme, vraiment." Comme bousculé, Ti-Cass répond: "Non non, là, c'est benque trop tôt pour que quoi qu'ce soit soit vraiment formulé."

"Ok, et en allant pour l'opposé question peau, toi, Jason, ya tu au moins un leader qui s'est dessiné?" Le jeune joueur n'a qu'une réponse: "J'sais pas." Eeeech, utile. Pendant tout ce temps, Bébert a la main levée pour donner son commentaire, mais à la place, Mike leur dit: "Ok gang, c'est déjà rendu platte, allez aux scrutins. Tiens Jason, vas-y donc premier."

La musique australienne enregistrée commence à jouer, et un à un, nos compères allent voter. On nous montre pas grand chose (à part Bébert en train de se battre avec le marker quand le bouchon ne s'arrache pas), mais quelques bribes sont mises à la lumière du jour. Par exemple: Bien qu'on ne voit pas le vote de Ti-Cass, on l'entend dire "T'as pas l'air à t'enjoyer" comme explication... Maxence vote pour Emili lui (surprise!) et nous dit dans son accent habituel: "Une fille qui, dans un bus de gars, se montre pas plus amicale avec ses coéquipiers et qui parle pas phases finales de hockey, bah, c'est pas très correct. C'est pour cela que je vote Emili ce qui veut dire que c'est désormais à Steven de faire le ménage." Mais rien d'autre vraiment.

De retour à leurs sièges, Mike annonce qu'il va aller compter les votes et le suspense ne pourrait pas être plus bas. Anyway, le premier vote est... Bébert. "Bon je le savais!" lance le Drummondvillois tout haut. Mike le shhhhh avec un regard d'arbitre et continue: "Emili." (C'est le vote de Maxence, selon l'écriture.) "Troisième vote: Emili. Quatrième: Emili. Emili. Emili. Emili. Emili. Emili, amène ta torche ici pour qu'on souffle dessus ma fille. Yer outta here!"

Emili fait semblant qu'elle s'en sacre ben (c'est même peut-être vrai), amène sa torche à Mike, pis s'en va prendre le train pour Moncton à nouveau. Au moins elle a pas besoin de revenir à partir d'Ottawa ou qqchose. Mike: "Tout le monde à vos autobus, car ils redécolent déjà demain matin. Et pout ceux qui pensaient que yavait pas d'alliances si tôt dans le processus... mon oeil." Et sur ce, les survivors allent se coucher. C'est beau les gais, débarassez vous de votre seule fille!

Questions:

1. Quelle équipe gagnera le défi de luxe cette semaine? (50 points)

2. Quelle équipe gagnera le défi d'immunité? (70 points)

3. Qui sera expulsé? (150 points)

4. Va-t-on revoir la queue à Sam? (40 points)

5. Quel défi régulier du vrai Survivor sera rippé-off? (100 points)

Well c'est la fin d'une belle épopée. Pis faut dire que étant la seule fille j'avais à m'en douter. J'me demandai pourquoi personne avais essayer de faire d'alliance avec moi, I guess que c'est parce que l'alliance étais contre moi...right? De toute façon ma boss au VON m'avais dit que le gouvernement accepterai pas de payer pour mon projet étudiant si j'étais partie toute l'été. Mais je part pas sans dire que je trouve çà louche que c'est les brayon qui se font kicker out en premier mais, bah, prout.


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